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Une Canadienne de 20 ans a été arrêtée pour avoir publié une image représentant un graffiti anti-police sur Instagram.
Basée à Montréal Jennifer Pawluck a été placé en garde à vue après avoir publié une image controversée sur Instagram. La femme de 20 ans a mis en ligne une photo d'un graffiti anti-police, forçant la police à la considérer comme une menace pour un officier de haut rang.
Une photo Instagram conduit à l'arrestation d'une femme
Le graffiti représente Commandant Ian Lafrenière, qui est en charge des réseaux sociaux de la police de Montréal, avec un trou de balle dans la tête. «IAN» et ACAB »sont également visibles sur la photo, faisant clairement référence au nom du policier et au fait que« tous les flics sont des bâtards ».
Pawluck a été arrêté et interrogé par le Police de Montréal. Cependant, elle n'a pas dit trop de mots et a donc été libérée quelques heures plus tard.
Bien que les graffitis aient été supprimés depuis l'incident, les dégâts sont faits. Pawluck, comme de nombreux photographes et militants, estime que c'est «ridicule» car il est erroné d'arrêter quelqu'un pour avoir téléchargé une image sur un site de partage de photos.
Juste une photo artistique, pas une menace pour la police
La Canadienne a dit que tout ce qu'elle a fait était de partager un photo artistique. De plus, si la police veut arrêter quelqu'un, elle doit saisir la personne qui l'a créée en premier lieu.
Cependant, l'histoire de la police est un peu différente. Un porte-parole a déclaré que l'arrestation était basée sur des circonstances qui vont bien au-delà du téléchargement d'une photo sur Internet. Le gendarme Dany Richer a refusé de faire d'autres commentaires parce que l'enquête est en cours.
Malheureusement pour Pawluck, elle a été placée en détention trois fois avant cet incident. Elle est une militante sociale, présente à de nombreuses manifestations publiques. De plus, son profil Instagram présentait une icône emoji tirant une arme sur la tête d'un flic.
Pourtant, cela peut s'avérer un peu trop, même si le mandat dit que Ian Lafrenière craignait pour sa vie.
Situation prévue pour être réglée le 17 avril
Un avocat de la défense affirme que ce n'est rien de plus qu'un "déclaration politique", destiné à montrer aux gens que la police a une politique de tolérance zéro à l'égard des militants qui menacent leur intégrité.
Jennifer doit se présenter au tribunal le Avril 17. D'ici là, elle doit rester à un kilomètre du poste de police de Montréal et interdit d'essayer d'entrer en contact avec le commandant Ian Lafrenière.