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La photographe Deborah Bay a dévoilé un projet intitulé «The Big Bang», consistant en des photos macro de balles «essayant» de se frayer un chemin à travers le plexiglas.
Lorsque les téléspectateurs voient pour la première fois «Le Big Bang», ils pensent que le projet représente des galaxies sur le point d'exploser ou des poissons de haute mer, comme la féroce baudroie à bosse. Cependant, c'est en fait un exemple de belle photographie macro.
Visiter une vente de verre à l'épreuve des balles suffit parfois à susciter l'inspiration d'un artiste
Les balles et le plexiglas ne sont pas des sujets communs pour les photographes, mais Deborah Bay a été inspirée pour créer ses œuvres lors d'une démonstration de verre pare-balles. À l'époque, elle n'y pensait pas trop, mais les choses ont changé peu de temps après.
Le photographe avait remarqué que les balles qui «s'écrasaient» sur le plexiglas créaient de beaux motifs causés par la fragmentation. Elle dit que les projectiles coincés dans le verre sont des «enregistrements visuels» des explosions d'énergie massives déployées lors d'une collision.
La photographe Deborah Bay permet d'oublier plus facilement la nocivité des armes à feu
Le «Big Bang» de Bay est la preuve que la destruction peut aussi être belle. En y regardant de plus près, il est facile de voir la trajectoire des balles. Cependant, le nom du projet parle de lui-même et il y a peut-être un lien entre «l'explosion de galaxies» et l'énergie libérée par les balles.
Le photographe explique qu'il est inévitable d'ignorer le fait que les balles peuvent causer beaucoup de dégâts, donc une «tension psychologique» va certainement émerger entre cela et la beauté des clichés. Malgré ce fait, il est assez facile de se perdre dans la beauté des photos.
Des photos du «Big Bang» ont été prises après que les balles aient été tirées
Selon l'artiste, des prises de vue macro «The Big Bang» ont été prises dans un studio à la suite de professionnels tirant les balles à travers le plexiglas.
Deborah a ajouté qu'elle avait développé un intérêt pour les projectiles, grâce à la position des États-Unis sur les armes à feu. Apparemment, il y a environ 51 millions d'armes au Texas et il est très peu probable qu'elles disparaissent de si tôt.
Il est à noter que la photographe n'a pas révélé sa position sur le contrôle des armes à feu, ce qui est une bonne chose car la beauté du projet ne doit pas être éclipsée par des arrière-pensées.